Des propos publics, aberrants, monstrueux, délirants, énormes, sérieux, empreints de bon sens parfois.
Bref, ils ont osé le dire... Et on ferait bien de s'en souvenir.
vendredi 2 novembre 2012
« Voici mon crime, ma faute : poser des questions, chercher la vérité et écrire ».
Soner Yalçin, journaliste turc, détenu depuis deux ans dans l’attente d’un procès à Istanbul, via une lettre ouverte, exfiltrée par sa femme, via Le Figaro du 02/11.
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